Enfant déjà, je ne supportais pas les injustices sociales.

Mue par le sentiment qu’il fallait œuvrer pour changer les choses, je me suis engagée comme bénévole dans plusieurs mouvements sociaux, médicaux ou associatifs, tels que l’Association Belge du Diabète, le Télévie et le comité de mon quartier.

Dans le même état d’esprit, j’ai exercé le métier de formatrice en alphabétisation et en français langue étrangère (FLE) aidant ainsi les primo-arrivants à s’intégrer et à combler leurs lacunes en langue française, lacunes qui représentent un gros handicap social.

La place des femmes dans la société est encore trop inégalitaire et je milite pour qu'un équilibre devienne une réalité.

C’est une évidence pour moi d’être impliquée en politique. Cette participation signifie être au service des gens et surtout laisser aux citoyens le moyen d’être acteurs de leur commune. Je défends l’idée que les Sambrevillois.e.s doivent être au centre de toutes les décisions les concernant.

Par ailleurs, depuis de nombreuses années, je défends le principe du “circuit court”. En effet, je suis intimement convaincue que faire vivre nos paysans-producteurs et nos artisans locaux est une des solutions économiques et écologiques à pourvoir. En plus d’appliquer ces principes à moi-même, j’ai voulu sensibiliser à ces notions, avec ECOLO-Sambreville, en organisant les Journées Vertes et tout particulièrement le salon des producteurs et artisans locaux. Ces combats pour plus de justice sociale et pour le développement des circuits courts incarnent l’engagement que je prends en me présentant aux élections communale.